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FAO

Augustina Tufuor a lancé son entreprise de production de collations bonnes pour la santé, mais s’est heurtée à des obstacles dans l’obtention d’un financement lorsqu’elle a voulu développer son activité. Plus de 70 pour cent des entreprises dirigées par des femmes en Afrique, comme celles d’Augustina, n’ont pas suffisamment accès aux services financiers. Beaucoup travaillent dans un cadre informel, où elles manquent de protections juridiques. Présent dans six pays, le programme EWAT, lancé par la FAO, promeut la participation des femmes au sein de la Zone de libre-échange continentale africaine. Il vise à accroître la compétitivité des femmes dans le commerce en renforçant leurs connaissances, leurs compétences et leur accès au financement, grâce aux nouvelles perspectives de commerce régional ouvertes par la Zone de libre-échange. 

Les solutions des systèmes agroalimentaires

La FAO continue de travailler pour relever les défis liés aux changements climatiques, à la biodiversité, à la dégradation des terres et à la sécurité alimentaire.

Le fonio, céréale ancienne d’Afrique de l’Ouest, dont la culture est traditionnellement l’affaire des femmes dans le nord du Ghana, est un aliment de base pour la famille de Christabel, comme pour beaucoup d’autres dans le district de Chereponi. Il y un an encore, Christabel ignorait que le fonio pouvait aussi se cultiver pendant la saison sèche. Cependant, grâce à un projet mis en place récemment par la FAO, en partenariat avec la chef Fatmata Binta, célèbre dans le monde culinaire pour avoir donné ses lettres noblesse à la gastronomie africaine, Christabel et d’autres cultivatrices ont appris qu’elles pouvaient vivre toute l’année de la culture du fonio. Ce projet, auquel est associé le Ministère de l’alimentation et de l’agriculture du Ghana, vise à dispenser aux productrices de fonio des formations qui leur permettront de gagner en productivité et d’accroître leurs revenus.

Journée mondiale de l'alimentation 2024

Aujourd'hui, plus de 2,8 milliards de personnes ne peuvent pas se permettre une alimentation saine. Or, l'alimentation est un principe universel de vie et un droit humain fondamental.

La ville fortifiée de Carthagène, en Colombie, est connue pour son atmosphère dynamique et festive et ses Palenqueras, des vendeuses aux tenues colorées portant un panier de fruits sur la tête.

Le transport, étape décisive des chaînes d’approvisionnement en fruits et légumes, représente une part non négligeable des 13 pour cent de pertes mondiales de nourriture qui ont lieu entre le moment de la récolte et celui de la vente au détail. Pour remédier à ce problème, nous devons aborder la question du système de transport dans son ensemble et trouver des approches adaptées. La FAO nous apporte quatre observations sur la question des transports, accompagnées de solutions qui pourraient permettre de réduire les pertes de nourriture.

Sept exemples de technologies nucléaires qui améliorent l'alimentation et l'agriculture

Certaines des façons les plus innovantes utilisées pour améliorer les pratiques agricoles s’appuient sur les technologies nucléaires.

Chaque enfant doit s'alimenter

Des jeunes d'horizons différents ont collaboré ensemble afin de produire une chanson pour la FAO visant à sensibiliser le public vis-à-vis du droit à l'alimentation. Écoutez-là ici !

Ce que vous devez savoir sur la clavelée et la variole caprine

La clavelée et la variole caprine sont des maladies très contagieuses, à déclaration obligatoire, qui touchent les petits ruminants et dont les taux de mortalité et de morbidité sont élevés. Un foyer peut entraîner d'importantes pertes de production.

Pour les jeunes pleins d’ambition, le secteur apicole en Azerbaïdjan offre une carrière pérenne et enrichissante dans un secteur propice à l’innovation et à la croissance.

Affiche de la Journée mondiale de l'alimentation 2024

Le droit aux aliments au service d’une vie et d’un avenir meilleurs

Participe au concours d’affiches de la Journée mondiale de l’alimentation et fais preuve de créativité ! Imagine une affiche avec ton plat ou ta recette préférée, qui illustre l’importance d’aliments diversifiés, nutritifs, sûrs et abordables.

Le Centre de formation virtuelle de la FAO a accueilli 131 professionnels et acteurs de la chaîne de valeur porcine, pour une formation sur la prévention et le contrôle de la peste porcine africaine dans des contextes aux ressources limitées.

Les agriculteurs, les scientifiques, le personnel des banques de gènes, les décideurs politiques, les producteurs alimentaires et bien d'autres encore, sont unis pour protéger la diversité des cultures et des semences dans notre panier alimentaire mondial.

Gita Adikhari a compris que quelque chose avait changé en profondeur quand, dans son exploitation située dans le district de Jhapa, à l’est du Népal, elle a produit près du double de ce qu’elle obtenait d’habitude. Mais sa récolte abondante de pommes de terre n’est pas le fruit du hasard: c’est le résultat de connaissances acquises dans le cadre d’une école pratique d’agriculture mise en place par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et bénéficiant de financements du Fonds vert pour le climat. La région dans laquelle sont concentrées les écoles pratiques d’agriculture est le Churia, bassin versant du pays, où vivent Gita et ses camarades. Cette région est confrontée à de multiples problèmes environnementaux, notamment la déforestation, l’érosion des sols et l’appauvrissement de la biodiversité. Ces défis, conjugués aux incidences de la crise climatique, pèsent lourdement sur les conditions de vie des membres des communautés locales.

En raison de la diminution des pâturages provoquée par l'aggravation de la sécheresse dans le sud de la région de Gobi, les chamelles produisent moins de lait, ce qui pose des problèmes aux éleveurs qui en dépendent pour leurs revenus et leur alimentation. Traditionnellement, les communautés d'éleveurs de Mongolie ne donnent pas d'aliments complémentaires à leurs chameaux et se contentent de les traire à la main. Mais aujourd'hui, grâce aux connaissances et aux ressources d'un projet mis en œuvre par la FAO, les éleveurs de chameaux ont constaté une augmentation de la production de lait à partir d'aliments complémentaires. Les équipements de traite ont également permis d'améliorer la qualité de la production de lait.