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Bruno  Lemarquis Représentant spécial adjoint en République démocratique du Congo, Coordonnateur résident et Coordonnateur des opérations humanitaires

Bruno Lemarquis

Représentant spécial adjoint en République démocratique du Congo, Coordonnateur résident et Coordonnateur des opérations humanitaires

Mission de l'Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO)

Le Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, a annoncé le 18 janvier 2022 la nomination de M. Bruno Lemarquis, de la France, comme son Représentant spécial adjoint à la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) et Coordonnateur résident dans le pays.  M. Lemarquis assumera aussi les fonctions de Coordonnateur des opérations humanitaires.

Il succède à M. David McLachlan-Karr, de l’Australie, auquel le Secrétaire général exprime sa gratitude pour le dévouement et l’engagement constant qu’il a démontrés à l’égard des Nations Unies.

Ayant été, depuis 2020, Représentant spécial adjoint du Secrétaire général au Bureau intégré des Nations Unies en Haïti (BINUH), Coordonnateur résident et Coordonnateur des opérations humanitaires dans le pays, M. Lemarquis apporte avec lui une vaste expérience de la gestion et du leadership dans les situations multidimensionnelles complexes, le développement, les affaires humanitaires et le maintien de la paix.

Avant cela, au Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), il était, de 2014 à 2019, Administrateur assistant adjoint et Directeur adjoint du Groupe de la gestion des situations de crise, dénommé alors Bureau des crises/Réseau de politiques mondiales.  De 2009 à 2014, il a occupé plusieurs postes au Bureau de la prévention des crises et du relèvement, accumulant les expériences sur le terrain, y compris en Somalie, dans le Territoire palestinien occupé et au Cambodge.  Avant d’entrer aux Nations Unies en 1992, M. Lemarquis travaillait pour une ONG internationale en Haïti et en Éthiopie.

Il est titulaire d’un diplôme d’ingénieur en agriculture tropicale du Centre national d’études des régions chaudes, de Montpellier.  Il parle couramment l’anglais et le français.