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Pour aider à faciliter la mobilité et promouvoir le commerce transfrontalier, l’OIM et TradeMark Africa construisent un poste-frontière à guichet unique à la frontière entre le Rwanda et la RDC.

Il y a deux ans, Nunzia a quitté le Venezuela avec sa fille, espérant qu'elles commenceraient une nouvelle vie en Colombie. Le manque d'emploi et le fait de se retrouver à la rue ont porté un coup dur à sa fille et Nunzia l'a vue souffrir de problèmes de santé mentale. La première rencontre de Nunzia avec l’équipe de santé mentale de l’OIM a eu lieu lors d’une activité de sensibilisation en 2021. L’équipe a joué un rôle crucial en aidant sa fille à accéder à des soins de santé mentale via la télémédecine, un service rendu possible grâce à un accord avec l’hôpital psychiatrique d’Antioquia.

Etzaida Rios travaille en tant qu'agente communautaire de l'OIM dans un centre d'accueil temporaire pour migrants à San Vicente, l'un des premiers points d'arrivée pour les migrants émergeant de la jungle du Darien, qui s'étend

L'immigration peut accroître le PIB des pays de destination. Les migrants contribuent davantages aux impôts et en cotisations sociales qu'ils ne reçoivent. Les envois de fonds vers les pays en développement équivalent à trois fois l'aide publique au développement...

Les progrès réalisés par le Burundi pour résoudre, prévenir et aborder la crise du déplacement sont remarquables, mais il est nécessaire d’accélérer l’action pour atteindre les engagements du pays en matière d'ODD.

La traite des êtres humains peut toucher n'importe qui, mais nous pouvons tous faire partie de la solution en sensibilisant, en repérant les signes d'exploitation et en fournissant des signalements sécurisés.

Un plan de reconfiguration et de décongestion des logements mené par l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) vise à améliorer les conditions de vie dans les sites de déplacement en Somalie tout en offrant aux résidents une chance de reconstruire leur vie dans la dignité.

Les Nations Unies estiment que plus de 180 000 personnes ont été déplacées du Soudan vers le Tchad en raison de l'aggravation des violences.

Rahama avait deux choix possibles : donner naissance à son troisième enfant en plein conflit armé qui faisait rage dans la capitale soudanaise de Khartoum ou faire ses valises et se rendre en Éthiopie. «  Je pouvais accoucher à tout moment, mais j'ai regardé par la fenêtre et tout ce que je voyais, c'était de la fumée partout et des tirs d'armes à feu de tous les côtés. C'est alors que je me suis dit que mon enfant à naître et le reste de ma famille auraient peut-être de meilleures chances de survie si nous partions », raconte Rahama. À bord d'un bus bondé, la famille a entamé le long et dangereux périple vers l'Éthiopie, emportant avec elle le peu qu'elle avait réussi à emballer. 

Les changements environnementaux et les catastrophes ont toujours été des facteurs importants de migration. Toutefois, les prévisions relatives aux changements climatiques pour le 21e siècle indiquent un nombre croissant des déplacements.

La jungle du Darien, entre la Colombie et le Panama, est l’un des itinéraires migratoires les plus dangereux et les plus effrayants du monde.

Ruma, veuve et mère célibataire d'une petite ville du sud du Bangladesh, a été victime de harcèlement social après la mort de son mari, ce qui l'a obligée à émigrer. Grâce à un mariage arrangé de complaisance, elle est arrivée en Italie. Malgré ses tentatives de réussite en Italie, elle a décidé de rentrer au Bangladesh, où elle a appris l'existence du projet Prottasha de l'OIM. L'équipe lui a apporté une éducation financière et un soutien en nature. Elle a enfin pu subvenir aux besoins de son fils, qui poursuit actuellement ses études.

Financé par l'Union européenne, le projet Prottasha a contribué à la réintégration durable des migrants de retour au Bangladesh et à la réalisation progressive de l'objectif de développement durable 10.7 visant à faciliter la migration et la mobilité ordonnées, sûres, régulières et responsables d

Le voyage de Kharkiv à Budapest a été long et difficile pour Sasha, 14 ans, et sa famille. Ce nageur passionné, qui s'entraînait sans interruption depuis neuf ans en vue des Jeux olympiques, a vu ses projets - comme ceux de tant d'autres - anéantis par la guerre. L' a aidé Sasha et sa famille dans leur périple vers la Hongrie.

En février, des séismes ont frappé le sud-est de la Türkiye et la Syrie voisine, rasant des villes, détruisant des milliers de maisons et d'entreprises et déplaçant des millions de personnes.