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HCR

La mise en place du confinement en raison de la crise de COVID-19 a fait payer un lourd tribut aux réfugiés, dont beaucoup avaient déjà du mal à joindre les deux bouts dans l’économie informelle avant l’arrivée de la pandémie. Aujourd’hui, de nombreux réfugiés en milieu urbain disent ne pas avoir les moyens de payer la nourriture et le loyer. Dans certains endroits, ils ont mobilisé des ressources pour aider les plus vulnérables d’entre eux.

Appel à solidarité

La pandémie de Covid-19 touche sans discrimination, y compris les réfugiés et autres personnes déracinées par les conflits et les persécutions. Le HCR est mobilisé pour protéger les plus vulnérables. Pour les aider, chaque geste compte.

Alors que la pandémie de coronavirus se propage en Amérique latine, le HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, avertit que de nombreuses communautés autochtones déracinées sont désormais dangereusement exposées et en danger.

Afin d'améliorer la disponibilité des fournitures médicales de base en Gambie, en pénurie depuis le début de la pandémie de COVDI-19, l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a intégré les activités liées au virus aux initiatives déjà existantes visant à soutenir la réintégration d

Après avoir fui le Mali en 2012, Fatimata a vécu avec sa famille dans le camp de Mbera, en Mauritanie, où elle a reçu l’assistance du PAM.

Le nombre de personnes déplacées du fait de la violence à l’intérieur de leur propre pays est plus élevé que jamais, alerte l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR).

Pour faire face à la nouvelle maladie à coronavirus, des mesures de distanciation physique ont été mises en place par l'ONU dans un camp de réfugiés au Soudan du Sud, où les rations ont été augmentées pour réduire le nombre de fois où de grands groupes doivent se réunir pour recevoir de l'aide hu

Le virus de la COVID-19 comporte des risques majeurs en matière de protection pour les femmes et les jeunes filles contraintes de fuir leurs foyers, souligne l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés. 

Comment héberger 2500 personnes chez soi ?

Cette année, au Burkina Faso, plus de 700 000 personnes ont fui leurs villages près de la frontière avec le Mali et le Niger. Ces personnes ne comptent souvent que sur la solidarité de leurs voisins, comme Dianbendé qui a déjà accueilli plus de 2500 Burkinabés déplacés.

Au Burkina Faso, des groupes armés continuent de semer la terreur au quotidien, assassinant ceux qui refusent de rejoindre leurs rangs et obligeant les survivants des attaques à fuir pour se mettre à l’abri.

En France, des réfugiés ayant une expérience médicale veulent se joindre à la lutte contre la pandémie de COVID-19. La crise sanitaire actuelle a déclenché une vague de solidarité de la part de personnes du monde entier y compris des réfugiés, désireux d’aider dans leur pays d’accueil. 

Le HCR nous présente quelques-unes de ces milliers de bonnes actions entreprises à travers le monde par et auprès des plus vulnérables pour lutter contre la pandémie.

Des réfugiés et des migrants vénézuéliens s'exercent à utiliser un désinfectant pour les mains, distribué par l'Agence des Nations unies pour les réfugiés dans un refuge de Manaos, au Brésil.

De nombreux réfugiés vivent dans des camps densément peuplés ou dans des zones urbaines défavorisées où les infrastructures sanitaires et les installations de traitement de l’eau, d’assainissement et d’hygiène sont insuffisantes. Le HCR a présenté une série de mesures pour aider à répondre à l’urgence de santé publique que représente la COVID-19 et à prévenir toute nouvelle propagation du virus.

Quelque 70 millions d’enfants, de femmes et d’hommes déracinés par les guerres et la persécution comptent parmi les personnes les plus exposées au coronavirus. Le HCR recherche aujourd’hui 255 millions de dollars pour son action urgente visant à réduire le risque et à atténuer l’impact de la propagation de l’épidémie dans ces communautés vulnérables.