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Գé

Ambovombe est un district enclavé du sud de Madagascar, où seule la moitié des structures de santé est accessible sur l’année, à cause de routes difficilement praticables. Même lorsqu’on parvient à s’y rendre, le coût du transport est beaucoup trop élevé. Quand la COVID-19 a frappé le pays, de plus en plus de patientes ont cessé de se rendre dans les centres de santé. Pendant cinq mois, deux cliniques mobiles ont couvert plus de 10 000 km pour prodiguer des soins. 

 

Un an après le début de la pandémie de COVID-19, ONU info revient sur les défis posés par le virus et les solutions qu’ont proposé les Nations Unies et leurs partenaires.

 

Le Festival du film « Գé pour tous » de l' a attiré près de 1 200 auteurs de courts métrages – amateurs et professionnels – de 110 pays. Quinze de ces courts métrages ont été retenus.

La campagne mondiale de vaccination COVID-19 sera la plus importante de l'histoire. L'administration des vaccins COVID-19 présente des défis sans précédent en termes d'échelle, de rapidité et de spécificités, en particulier dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. En novembre 2020, anticipant la disponibilité de vaccins sûrs et efficaces pour COVID-19, la , en collaboration avec l', l', le et , a déployé des évaluations de préparation dans plus de 100 pays à revenu faible ou intermédiaire. 

 

Le Fonds de solidarité pour la COVID-19 achève sa première année et doit réunir 1,96 milliard de dollars pour continuer à répondre à la pandémie en 2021.

 

Alors que certains pays européens ont suspendu ces derniers jours, par mesure de précaution, l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca, l’Organisation mondiale de la Գé (OMS) a estimé qu’il n’y a pas de raison d’arrêter à administrer ce sérum. 

 

Le médecin Tefera Tewodros comptait parmi les premiers réfugiés qui ont rejoint l’est du Soudan en quête de sécurité au début de la crise dans la région du Tigré (Éthiopie), en novembre dernier. Depuis lors, il vit et travaille au dispensaire de la ville frontalière de Hamdayet, dans l’État de Kassala, où la majorité des 60 000 réfugiés ayant fui le conflit en Éthiopie ont trouvé abri.  Avec des ressources limitées, il met ses compétences et sa formation au service de ses compatriotes réfugiés dans le besoin au Soudan, explique l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés ().

2021 a été désignée Année internationale des personnels de santé et d’aide à la personne en hommage à leur dévouement indéfectible dans la lutte contre la pandémie de COVID-19. L’Organisation mondiale de la Գé () lance une campagne d’un an, sur le thème : ʰdzé.&Բ;Աپ.&Բ;Բ𳾲. Elle souligne qu’il est urgent d’investir en faveur des agents de santé pour en retirer des dividendes communs dans les domaines de la santé, de l’emploi, des opportunités économiques et de l’équité.

 

Découvrez le rôle clé que joue la science nucléaire dans le diagnostic et le traitement du cancer, de la radiothérapie aux radiopharmaceutiques en passant par la stérilisation du matériel médical. Le cancer est l’une des principales causes de décès dans le monde. L’Agence internationale de l'énergie atomique () aide les pays à améliorer l’accès aux techniques nucléaires qui sauvent des vies. 

Au Niger, concentrées sur 100 jours, les initiatives à résultats rapides (ou RRI selon l’acronyme anglais) rassemblent des personnels de santé et des membres des communautés pour imaginer et tester de nouvelles façons d'améliorer l'efficacité des soins de santé, afin d’abaisser les taux de mortal

En Afrique de l’Ouest et Centrale, plus de 30 % des personnes vivant avec le VIH ignorent qu’elles sont séropositives.

La FIFA s’associe à l’Organisation mondiale de la Գé () : des stars du football et des capitaines d’équipes rivales feront la promotion de l’accès mondial équitable aux vaccins, aux traitements et aux produits de diagnostic.

Le Directeur général de l’, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a averti que le monde ferait face à un « échec moral catastrophique » si les pays riches continuaient d’accaparer les vaccins contre la COVID-19 au détriment des pays en développement.

 

 accueille un 150ème membre au sein de son réseau mondial de lutte contre les maladies tropicales négligées (MTN), le paludisme et la tuberculose, avec l’adhésion au partenariat public-privé de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) de la prestigieuse université colombienne d’Antioquia. Avec la récente adhésion de l’Université d’Antioquia, le consortium compte désormais 150 membres dans 44 pays et sur six continents. 

 

Les démarches visant à créer un stock mondial de vaccins anti-Ebola ont été dirigées par le Groupe international de coordination (GIC) de l’approvisionnement en vaccins, dont sont membres quatre principales organisations internationales actives dans les domaines de la santé et de l’action humanitaire : l’Organisation mondiale de la Գé (), l’, la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR) et Médecins sans frontières (MSF). Ce stock permettra aux pays d’endiguer les futures épidémies de maladie à virus Ebola en garantissant aux populations à risque un accès rapide aux vaccins pendant les flambées.