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Partout dans le monde, les systèmes de pouvoir patriarcaux ont depuis longtemps renforcé les normes et les idées qui alimentent l'inégalité entre les sexes et ses manifestations dévastatrices, notamment la violence sexiste. Ces problèmes touchent des millions de femmes et de filles chaque année. L' et le ministère palestinien de la Santé ont lancé un nouveau programme pour éduquer les sages-femmes, les obstétriciens, les médecins et d'autres sur la façon de prendre en charge les patients qui ont subi des violences sexuelles.

En Afghanistan, les entreprises dirigées par des femmes pâtissent de l’aggravation des restrictions L’avenir d’un centre qui a contribué à améliorer la capacité des femmes à subvenir à leurs besoins et à ceux de leur famille reste incertain.

La ferme de Malika Machalikashvili en Géorgie était autrefois assez traditionnelle. Aujourd'hui, elle vend ses produits à l'aide d'un smartphone. Au cours des trois dernières années, Malika a suivi des formations de la , qui enseignent aux petits exploitants agricoles les meilleures pratiques agricoles.

Si le monde numérique offre d’immenses possibilités, il n’est pas à l’abri du recul persistant des droits des femmes et de l’égalité des genres, notamment de la violence fondée sur le genre et de l’exclusion numérique.

Alors que le monde avance collectivement vers l’intégration de solutions visant à freiner les changements climatiques et la destruction de la nature, il est crucial de trouver des solutions qui fonctionnent pour les peuples et la planète. Mais nous n’atteindrons pas notre destination commune si nous ne reconnaissons, ni ne garantissons aux femmes une participation et des responsabilités pleines et égales.

Le nouveau programme Lise Meitner de l’ permet aux femmes en début et en milieu de carrière d’effectuer des visites professionnelles de plusieurs semaines et d’améliorer leurs compétences techniques et générales.

Les femmes sont le moteur du commerce dans les pays les moins avancés, et nombre d'entre elles gèrent de petites entreprises transfrontalières. Les cours en ligne que propose la permettent aux participantes de concevoir et de mettre en œuvre des politiques pour combler les écarts entre les sexes dans le domaine du commerce.

Les technologies émergentes et l'accès numérique peuvent grandement améliorer le bien-être, l'éducation, la santé et les moyens de subsistance des femmes et des filles. Cependant, un écart numérique important entre les sexes persiste. La - un organe intergouvernemental dédié à l'égalité des sexes et à l'autonomisation des femmes - abordera ce problème lors de sa 67e session (6-17 mars). Le groupe revisitera les impacts sexospécifiques de l'innovation et identifiera des recommandations pour une évolution numérique plus inclusive et équitable.

Des Afghanes ont récemment terminé un projet de formation pour subvenir à leurs besoins géré par une ONG locale en partenariat avec l'. Mais l'avenir du projet et des femmes est en jeu. De récents décrets émis par les autorités afghanes ont interdit aux employées d'organisations non gouvernementales d'aller travailler. Si le décret n'est pas amendé, des projets comme celui-ci, qui implique le personnel féminin d'une ONG formant d'autres femmes, ne pourront pas continuer.

Ranu s'est mariée à 14 ans et a perdu son premier enfant pendant sa grossesse à 16 ans. Pour lutter contre les inégalités entre les sexes et défendre les filles de son village, Ranu a rejoint un groupe d'activistes soutenu par l' au Bangladesh.

« Un monde où les hommes et les femmes sont égaux est un monde plus accessible, plus libre et plus pacifique », a déclaré Pashtana Dorani, une jeune Afghane de 24 ans . Les efforts des femmes défenseurs des droits humains comme Dorani continuent d'être indispensables pour les droits des femmes et des filles.  soutient les femmes courageuses qui demandent la fin de la discrimination et plaident pour des réformes juridiques afin de garantir leurs droits et la justice.

“A gender equal world is a more accessible, more free, and more peaceful world,” said Pashtana Dorani. “It is a fascinating world, where men and women have equal pay; a world where girls and boys are not told which colour is for which or told they cannot play sports or do anything.” The efforts of women human rights defenders like Dorani continue to be indispensable for the rights of women and girls. supports the courageous women demanding an end to discrimination and advocating for legal reforms to ensure their rights and justice.

Inas est maintenant bénévole dans un espace sûr soutenu par l' à Jabilya, dans la bande de Gaza, C e même endroit où elle a reçu de l'aide pour quitter un mariage abusif et recevoir un traitement médical pour son cancer.

En périodes de conflits et de crises, les femmes et les filles sont presque toujours les plus durement touchées. Deux femmes sur trois subissent de la violence liée au genre en situation de crise, soit deux fois plus que la moyenne mondiale en dehors des zones de conflit pourtant déjà terriblement élevée.

Dans les pays en développement, 71 millions de personnes sont  en seulement trois mois, conséquence directe de la flambée mondiale des prix des denrées alimentaires et de l’énergie. La crise qui sévit actuellement, liée au coût de la vie, devrait .

Avoir ou non des enfants est l’une des décisions aux effets les plus significatifs dans une vie. Pourtant, comme le montre le , les individus du monde entier, notamment les femmes et les personnes appartenant à des groupes marginalisés, se voient souvent privés de tout choix en la matière, car leurs partenaires, leur famille, leurs prestataires de santé et parfois même leurs gouvernements font ce choix à leur place, ou l’influencent fortement.